vendredi 30 octobre 2009

Journal Le Peuple

Catherine Bouchard présente, dans la version déjà en ligne du journal Le Peuple, son article «Abattage d'arbres illégal sans pénalité». La version papier paraîtra dans au courant de la semaine du 1er novembre.

Elle propose aussi un second article «Jean-Guy Turcotte se défend» .

Encore une fois l'incohérence du remblai alors qu'il n'y a toujours pas de projet domiciliaire déposé ne semble pas être perçue de M. Brière et de Mme Ladouceur. L'abattage d'arbres, les feux à ciel ouvert sont considérés comme des actes illégaux, mais de la bouche même de M. Turcotte, on confirme que la Ville n'a rien fait pour l'arrêter, ni lui exiger de se conformer.

«La petite fille» devrait le laisser travailler en paix, après tout il a à coeur les arbres, pour preuve, après avoir détruit une forêt, il compte planter d'autres arbres qui devraient, dans 50 ans, être aussi matures que ceux qui étaient déjà là ;)

Bonne lecture!

Le Soleil

Ce matin, on peut lire l'article : Abattage illégal à Lévis : le promoteur s'en tire sans amende., rédigé par le journaliste Éric Moreault du journal Le Soleil. Yves Gagné de Lévis Urbain reprend aussi la nouvelle.

Impossible de ne pas répondre à la réponse de Mme Ladouceur. «Madame, vous dites avoir tout fait pour nous aider... D'accord, nous voulons bien vous croire... Mais qu'avez-vous fait au juste, ce n'est pas clair dans nos têtes ?»

«Vous avez avisé le directeur du Service à la Clientèle, c'est vrai. Mais pourquoi ne l'avez-vous fait qu'à la fin septembre, cinq mois après le début des travaux ? Vous dites que le remblayage se fait en toute légalité... D'accord, nous acceptons... Mais s'il est vrai, comment se fait-il qu'il nous soit impossible de visualiser les documents faisant état de cela ? Peut-être étaient-ils égarés au moment de notre demande ? D'accord, nous acceptons une nouvelle fois de vous croire.»

Encore une autre question : «S'il est vrai que le certificat d'autorisation pour remblai ait effectivement été mis, comment se fait-il que l'on ait pas préliminairement exigé que le projet domiciliaire soit accepté ?»

«Le Soleil» n'aura peut-être pas fait briller notre journée, mais il aura eu le mérite de nous démontrer, une nouvelle fois, que la Ville «s'occupe bien de nous».
Voilà qui devrait nous rassurer.

vendredi 23 octobre 2009

La radio de Radio-Canada parle de nous

Le journaliste Alain St-Ours, 106.3 (Radio Première Chaîne de Radio-Canada) a interrogé notre conseillère Mme Anne Ladouceur ainsi que quelques résidents de notre quartier. Pour écouter le reportage, rendez-vous aux environs de la 4e minute du reportage.

Merci aussi à Jean-Pierre D'Auteuil, de la radio CFEL, qui a parlé de nous dans son émission ce jeudi 22 octobre.

Dossier de presse

Voici le dossier de presse complet.

Élections municipales - Ville de Lévis


Collusion à la ville de Lévis ou simple incompétence au sein de l’équipe Roy-Marinelli ?


Saint-Nicolas - secteur Chemin Forestier, le 19 octobre 2009.

Depuis près d’un an, des résidents se manifestent activement auprès des élus municipaux et du service d’urbanisme de l’arrondissement St-Nicolas concernant un lot [qui était] boisé sur le Chemin Forestier. Ce lot borde des résidences de la Rue des Sizerins. Le litige : l’achat et l’exploitation du lot par un contracteur qui profite du laxisme de la Ville pour déboiser, remblayer et faire des feux à ciel ouvert sans permis ni autorisation - et ce -malgré les nombreux courriels, lettres de plaintes et appels téléphoniques transmis à la conseillère Mme Anne Ladouceur, à la Mairesse et à différents agents du service d’urbanisme. Alors que Mme Roy-Marinelli prétend faire la promotion du Développement Durable (Le Soleil, septembre 2009), l’inaction de la Ville dans le présent dossier est une belle preuve de l’inadéquation du message de notre Mairesse et des actions qui sont posées [ou qui devraient l’être]. Nous, résidants touchés par la problématique, croyons que cette dernière mérite d’être connue des citoyens - payeurs de taxes.


Voici quelques faits marquants :

Octobre 2008 : des citoyens contactent la conseillère du secteur du Chemin Forestier pour obtenir le nom des propriétaires d’un lot boisé. Ils désirent en faire l’acquisition pour y aménager un espace vert pour les habitants du secteur qui réclament un parc depuis 5 ans.

Mars 2009 : une résidente relance la conseillère pour obtenir des détails sur le lot. Les demandes restent lettre morte.

Avril 2009 : les propriétaires du lot se présentent sur les lieux et procèdent à l’abattage d’arbres en masse. Des résidents rencontrent les propriétaires et recueillent leurs noms.

Mai à Juillet 2009 : Multiples échanges avec les élus et plaintes à la ville, pendant que le constructeur poursuit ses activités de déboisement, remblayage et feux à ciel ouvert sans autorisation, et ce, de 7h à 22h, autant en semaine que durant les fins de semaine.

Juillet à Septembre 2009 : Présences aux rencontres du conseil de Ville et au conseil d’arrondissement pour questionner les inactions des élus dans ce dossier. Un certificat d’autorisation est -semble-t-il-émis pour l’édification d’un mur de soutènement-lequel est déjà fait- alors que le projet domiciliaire n’est toujours pas autorisé.

Octobre 2009 : Certains événements nous portent à croire que des actions délibérées ou non sont posées dans le but de favoriser les intérêts du contracteur. À preuve, la Ville permet de décharger des matériaux provenant des travaux de réfections de la Route Marie-Victorin sur le terrain privé dudit contracteur.


Après plus d’une année, nous en arrivons à la conclusion que malheureusement, l’histoire semble se répéter (Boisé St-Laurent). La Ville tenterait-elle de protéger les intérêts financiers de certains entrepreneurs aux dépends du bien-être des résidents payeurs de taxes de la ville ? Malgré les bonnes intentions verbalisées par nos représentants, nous en venons à croire que oui. Nous, payeurs de taxe, aimerions bien profiter de nos propriétés dans le respect et dans la tranquilité. Nous voudrions que nos taxes contribuent à l’amélioration de notre Ville, celle-ci s’exprimant par l’augmentation des services aux citoyens actuels et, si elle avait à passer par le développement domiciliaire, notre Ville devrait a minima considérer les résidents qui sont déjà là et qui se sont assurés de respecter les règlements municipaux lorsqu’ils ont élu domicile à Lévis.